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Biographie

Avec la délicatesse et la sérénité d’un chat, Alaskam a su créer son propre univers, félin, envoûtant, progressif, aérien, voire cosmique en synthétisant ses différentes influences, du downtempo à la techno mélodique en passant par l’electronica. Évasion garantie.

Ses performances live, interprétées uniquement sur boîtes à rythmes et synthétiseurs, laissent une place importante à l’improvisation et ainsi à l’instant présent.

Aussi à l’aise sur une scène chill que sur un dancefloor électronique acidulé, Alaskam saura vous faire lâcher prise.
Suite à de prestigieuses programmations, notamment au Tilliacum Festival, Fusion Festival ou dans un Stereolux affichant complet, auprès d’artistes proches de son univers (Max Cooper, Extrawelt, Thylacine…), le live du nantais Alaskam continue son ascension, déjà animée par les morceaux qui composent son dixième album « Fusion » prévu pour mars 2025.

En parallèle, Alaskam improvise au sein du duo electro-vocal NAW/IR. Il a également collaboré avec la compagnie Baraka pour la création des musiques du spectacle «Ocho».

 

Nouvel album « Fusion » en mars 2025

Fusion, le dixième album autoproduit par Alaskam,
constitue une synthèse cohérente des influences variées de
l’artiste nantais, tout de même marqué par la patte d’Aphex Twin.
Des atmosphères planantes inspirées du downtempo /
ambient, des arpèges hypnotiques pouvant rappeler la
synthwave, des rythmes naviguant entre breakbeat et
techno, des synthés acidulés teintés d’electronica…


Par ce vaste panel d’intensités, orchestrées avec l’agilité et
la délicatesse des chats qui l’ont toujours inspiré, Alaskam
propose ici un voyage onirique, hors du temps, à la fois
dynamique et paisible.
Une invitation à l’évasion, à partir à l’aventure, loin, très loin.

Alaskam Fusion Artwork

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Albums

Prochains concerts

30 novembre : Le Coup du Marché à Indre avec NAW/IR

13 décembre: Le Grand Duc à Apremont

18 janvier : Live bar à Nantes avec NAW/IR

Alaskam Live Zinor

Quelques dates passées :

Fusion Festival (Allemagne) / 30/06/24 avec Max Cooper, Extrawelt, Grandbrothers…

1ère partie de Chinese man / 29/04/24 / Stereolux (complet)

Métallerie Modulaire / 06/01/24 / Le Ferrailleur

1ère partie de Senbeï / 10/11/23 / Le Zinor

1ère partie de Fasme / 03/02/23 / Décadanse (complet)

Tilliacum Festival / 26/08/22 avec Zentone, Ben Klock, Mezerg, Panda dub…

La nuit du Voyage à Nantes / 01/07/18 / Les Nefs / Stereolux

1ère partie de Thylacine / 15/10/16 / Fuzz’Yon

Vidéos

Photos

Chroniques

Métalorgie / Cycles - 2020

« En 2018 le beatmaker nantais faisait le lien équilibré entre électronique et environnements post-rock avec Compromissions. L’année d’après il alliait ses compétences de paysagiste musical avec celles de la chanteuse et pianiste Célia Guillot, pour un projet sobrement nommé Plan B avec le EP Barbelés. Jamais rassasié, Alaskam reprend désormais ses repères en solo par l’intermédiaire de son huitième disque, Cycles, où l’electronica réinvestit entièrement le Cosmos.

Le premier contact avec cet album sera visuel, via un artwork félin, élégant et irradiant, réalisé par Timothée Mathelin (aka shift.). Le second se fera à travers une introduction éponyme, d’abord faussement douce, rapidement grignotée par une basse lourde et minimaliste évoquant presque le Daft Punk circa 97’. La suite s’accrochera sur cette tendance inspirée, quasi littéraire, à marier finesse aérienne et profondeur rythmique, cinématographique, une constante chez le Nantais. Seulement ici on découvre des intentions plus synthwave, étalées sur l’ensemble des dix titres de Cycles. L’univers ici dépeint reste éthéré, en suspension, mais captive toujours dans sa construction, son agencement de sons encore un peu plus élaboré. Les détails dansent sur nos oreilles, sous notre nez, s’accordent pour faire jaillir une forme de prose synthétique. De telle manière que chaque morceau est indissociable du précédent ou du suivant. Tout ceci nous raconte une histoire, celle d’une tranche de vie, à l’aide de mots simples et forts : Effervescence, Chaos, Cosmos, Diffusion, Union, etc, pour lesquels la musique d’Alaskam apporte sa propre et pertinente définition, sans s’éparpiller, ajustant le fond à la sobriété de la forme.

Ainsi l’Aventure, après l’unification orchestrée par le spectre de Vangelis, n’en devient que plus grisante, parsemée d’embûches rythmiques aisément surmontées, qui nous installe ensuite dans l’Hypnose atmosphérique, dont les basses nous maintiennent encore les pieds au sol, pour mieux relâcher la pression lors de l’Ascension finale. Les corps errent alors, se déplacent en tournoyant de plus en plus vite dans cet océan infini en gravité zéro, impulsés par les mouvements de l’espace connu et inconnu.

Délestée des éléments post-rock précédemment enregistrés, la musique d’Alaskam n’en reste pas moins contemplative et envoûtante. Elle se matérialise cette fois par ces touches de synthwave enveloppantes et une abstraction de tous les instants, embarquant celle ou celui qui écoute dans un voyage intemporel, serein et délicat. Cycles est une poésie électronique qui s’appréhende les yeux clos afin d’optimiser les sensations qu’elle renferme. Encore un bel ouvrage du Nantais, qui devrait – dans un monde idéal – inspirer quelques faiseuses ou faiseurs d’images qui bougent.»

Tang

Tohu Bohu Media / Éveil - 2017
« Voyage spirituel dans un univers grandiose et électronique. L’album du musicien nantais est un appel à la réflexion intérieure – comme une auto-hypnose vibratoire sur fond de MAO.

Les titres de ces morceaux en sont l’illustration juste : Éveil – Attraction – Décloisonnement. On y trouve également un lexique propre aux machines, à l’informatique.
Comme si le parcours de l’album amenait à la synthèse entre l’humain et le numérique – Déconnexion – No Reset. Dans cette époque où la limite éthique de l’Intelligence Artificielle ne se pose plus, la musique électronique d’Alaskam se cale telle une symbiose entre notre sensation organique et notre désir numérique.

L’album Éveil décline ses titres sur fond de sonorités vaporeuses – vagues interstellaires douces et relaxantes, le musicien y accole nombres de notes différentes – samples dont l’allure rappelle les jeux vidéos des années 90, rythmique tribales, apports instrumentaux relevant le tout, dans une quête postmoderne spirituelle complète.

Le trip-hop planant produit par Alaskam au sein de ce sixième album auto-produit pousse plus loin le décrochage face au monde, ce fameux lâcher-prise mental vers lequel l’électro nous transporte. »

Morgane Lesné

Freezeec / Introspection - 2013
« Pour son troisième album « Introspection », Alaskam a mis ses arrangements orchestraux de côté, afin d’explorer la face plus électronique de sa musique.
Il propose sur cet opus, des ambiances planantes, voire hypnotiques, contrastées par une large palette rythmique, allant des plus fouillées et ciselées aux plus minimales et dépouillées.

Les sons, exclusivement synthétiques, apportent des émotions brutes mais très saines.
En résumé, « Introspection » vous invite à la relaxation, à la méditation, aux rêves… »

Wthar6

Longueur d'ondes / Compromissions - 2019

« Après avoir sorti six albums, le compositeur Alaskam revient avec son septième projet tout aussi troublant.
L’album, composé de huit titres aux personnalités différentes, s’inspire du trip-hop au post rock, avec l’utilisation habile de la MAO et de synthétiseurs. L’artiste nantais, par sa musique planante et envoûtante toute instrumentale, invite son auditeur au voyage dans des compositions introspectives offrant, par leur absence de mots, des possibilités immenses à l’imagination et à la réflexion.

Un monde onirique, psychédélique, intense, presque visuel, dont l’histoire racontée par l’instrumentation vient transporter celui qui l’écoute vers de nouveaux horizons.

Une montée crescendo dans “Envolée nocturne”, une vague douce et dévastatrice dans “Lutte” ; un univers à la fois serein et inquiétant, une musique énigmatique et accessible à tous.

Cet album mène aux rêves et vient transcender votre esprit. Alors mettez vos casques sur les oreilles et fermez les yeux… »

Fanny Jacob

Longueur d'ondes / Chute libre - 2014
« Au milieu du bruissement des feuilles, les arbres parlent dans la forêt d’Alaskam. Et cette chute libre est comme un plongeon dans la nature envoûtante et ensorcelante.
Des notes fragiles parsemées de quelques rayons de soleil se frottent comme par magie au trip-hop du jeune Vendéen. Le voyage s’avère planant et libérateur quand les instruments côtoient l’électronique.

Introspectif et délicat, tendant par instant vers le chill out, l’album s’écoute d’une traite, le nez pointé vers le ciel, et si l’on retiendra de toute évidence des titres comme « De passage » et « Escapade » aux tonalités japonisantes, chaque morceau offre sa palette de sensations.
Pour son quatrième opus, Alaskam livre un travail de qualité, parfaitement construit entre jeu d’ombre et de lumière au milieu des grands arbres.

Une chute vers un autre temps, dans le monde des éléments. Le jeune compositeur est de retour plus inspiré que jamais, éveillant l’imagination dans une balade enchanteresse. »

Kamikal

Trip-hop.net / Indélébile - 2012
« Indélébile est le second album d’Alaskam, toujours dans l’horizon du premier, à savoir une musique planante, envoûtante et prenante.
Un mélange aigre-doux dans lequel se côtoient instruments classiques et électroniques, poussant les pistes quelquefois à la limite d’un style cinématique que l’on a pris l’habitude de côtoyer (Reflets timides par exemple).

Les sonorités électroniques sont là pour rehausser le rythme et nous indiquer que non, on n’écoute pas cet album impunément sans faire partie du voyage et que ce dernier ne sera pas si posé que l’on pourrait le croire.
Certaines pistes (Souvenirs communs) me rappellent FTG de par leurs instruments et leurs cotés simplistes, tandis que d’autres (Germes et ses modulations par exemple) nous entraînent différemment vers un univers qui tient plus de l’abstraction qu’un « ordinaire » voyage classique.

Tout comme dans « Horizons », l’album est complètement musical et ne contient aucune voix.
Cependant, ce qui m’a semblé manquer lors de ma première écoute m’a paru on ne peut plus logique par la suite, nous laissant dériver vers des paysages bien plus imaginaires qu’une voix aurait pu nous transporter.

En conclusion, on se retrouve avec un album aux pistes assez différentes les unes des autres, mais le tout reste ancré dans une cohérence poétique qu’il serait dommage de louper. Il est possible de l’écouter de le télécharger sur bandcamp, toujours en Free download.

À noter aussi qu’Alaskam est sur le label Mendicity records, qui propose pour le moment 4 albums (dont 2 d’Alaskam) à télécharger gratuitement, pour notre plus grand bonheur. »

Wamananas